Dado, de fer et d’os

Dado, de fer et d’os

Conférence de Claude Louis-Combet et de Domingo Djuric à l’occasion de la parution de leur ouvrage Dado, de fer et d’os, édité par la Maison Européenne de la Photographie.

La MEP

Afin d’évoquer l’œuvre du dessinateur, peintre, sculpteur et graveur Dado disparu il y a maintenant près de 4 ans, deux personnes proches de cet artiste de renommée internationale présent dans les collections privées et publiques :

Claude Louis-Combet, quêteur de monstres au fond de lui-même, a rencontré, en toute fraternité, ceux qui peuplaient l’imaginaire de Dado. De lui quelques livres : Le Don de Langue (Lettres vives, 1992), Dadomorphes et Dadopathes (Deyrolle, 1992), Le Sacre du dépotoir (La Pierre d’Alun, 1996), Dado, les oiseaux d’Irène (La Différence, 2007), Dado, de bric et de broc (Bertrand Dorny, 2011), Dado (Virgile, 2012).

Domingo Djuric photographie des natures aussi mortes qu’éphémères et des bêtes crevées et massacrées. De Dado il tient son nom, son enfance, sa noire vision des êtres et des choses. En fixant son objectif sur les sculptures du maître d’Hérouval, il restitue la part d’humour et de cauchemar qui l’a nourri depuis qu’il respire et qu’il rêve.

dado