Programmation
Hic manebimus optime, 2012. Durée : 1 min. 21
Et l’homme créa la femme, 2013. Durée : 58 sec.
Le saut vers l’abstraction, 1995. Durée : 4 min. 47
La déesse aux pieds nus, 2006. Durée : 18 sec.
Conte goutte, 2011. Durée : 23 sec.
L’aprèshistoire, 1999. Durée : 3 min. 56
L’amour vache, 2013. Durée : 1 min.
Chiens et chats, 2013. Durée : 37 sec.
Hot dog, 2002. Durée : 4 min. 04
Un petit verre de scotch, 2014. Durée : 55 sec.
Jolly view, 1999. Durée : 3 min. 27
Tiré à la main par l’artiste, 2014. Durée : 53 sec.
French translation of the Fallingwater House, 2011. Durée : 1 min. 55
Un petit morceau de musique, 2012. Durée : 45 sec.
Le progrès des émotions, 2009. Durée : 3 min. 37
La vérité, 2014. Durée : 1 min. 16
Supermain, 1999. Durée : 3 min. 05
Volubile, 2004. Durée : 1 min. 10
En lien avec cette sélection, une rencontre-projection avec l’artiste est proposée à l’auditorium de la MEP, le mercredi 21 janvier 2015 de 18h à 19h. Entrée libre dans la mesure des places disponibles.
Une vidéo de Miller Levy sera également présentée à la Mep du 22 au 26 octobre, dans le cadre du nouveau festival Open VidéoArt.
Biographie
Miller Levy est né en 1950 au Caire, Egypte. Il vit et travaille à Paris.Il est représenté par la galerie Lara Vincy, Paris.
Parce qu’il fait des choses très variées, Miller Levy se présente comme artiste de variétés, ce qui lui permet d’aborder les divers aspects de l’art contemporain : peinture, sculpture, vidéo, dessin, installation, design, photo. De cette variété, il ressort une constante, la volonté de logique qui lui fait chercher la justification pour chacune de ses créations, comme autant de modèles réduits ou agrandis de la réalité, mêlant poésie, humour et ironie.« …C’est toujours du langage et de l’écriture sous ses différents aspects dont il est question. »… « Fervent admirateur de l’OuLiPo, Miller Levy aime jouer avec le langage et sa logique. L’admirable pouvoir des mots et la logique effrayante de la langue le fascine. Chaque œuvre de Miller est un piège qui nous confronte avec la capacité du langage à faire advenir des choses qui n’existent pas. » Cécile Marie (extrait du catalogue l’Aprèshistoire (Maison Européenne de la Photographie, Paris, 1999).
