Only the fires say propose par un enchaînement méthodique d’images un récit visuel et perceptif. Les assonances et les dissonances entre les impressions (chaud et froid, vide et plein, lent et rapide…) sont orchestrées par de subtiles transitions, grâce auxquelles chaque image est « lue » à la lumière de la trace laissée dans la mémoire par la précédente. L’idée de combustion fait prologue dès la première image. Elle introduit ainsi un leitmotiv qui ne tardera pas à se déployer tout au long de l’ouvrage, le feu annonçant la fin d’une saison.