Pour montrer l’empreinte de la radioactivité ils ont déposé des films radiographiques sur les zones irradiées pendant des durées variables et à différents niveaux de radiation. Ce procédé, reposant sur le principe photographique, a produit des « chronoradiogrammes », représentations temporelles du dialogue entre la mémoire imprimée sur le film radiographique et la réalité changeante de la zone. Ce dispositif, qui constitue le cœur du projet, entre en résonnance avec des photographies prises sur la zone, des montages vidéo et des sculptures réalisées pour l’occasion, autant d’éléments qui s’imposent comme révélateurs d’une réalité invisible.
En coproduction avec
Création et installation sonore
Floy Krouchi
Avec le soutien de
Jacques Salles, Pierre de Bonneville, Emmanuelle Dittmer, Joël Foulon, Bernard Miyet, Lionel Plessy, Michel Peyroux, Léonidas Kalogeropoulos (Médiations et Arguments), Actuasyl.