Si Mimmo Paladino, peintre et sculpteur, s’inspire de l’art étrusque ou des arts primitifs qu’il transfigure, expérimentant des techniques traditionnelles afin de créer un monde étrange et mystérieux, il en va de même d’Antonio Biasiucci.
Ce dernier, profondément ancré dans son Italie natale, utilise la matière photographique pour traduire les forces telluriques, comme les laves de l’Etna ou les traditions et rituels ancestraux.
Conçue comme une oeuvre audacieuse, inédite et spécifique à son lieu de monstration, cette exposition évoque, par un jeu de références et d’harmonies secrètes, la “Casa Madre”.
En collaboration avec
La Villa Fiorentino de Sorrente
Avec le soutien de
Mécénat de compétence
Traduction réalisée grâce au mécénat de compétence de l’agence THOMAS-HERMES with style