Marie Doria

Marie Doria
Passes, 1996

Galeries

La MEP

Installation chorégraphique de 35 panneaux d’alugraphie

La photographie est pour moi un moyen d’appréhender un tempo (notation musicale qui n’est pas définie de manière absolue), d’entrouvrir une réciprocité comme dévoilement du possible. La coexistence des images entre elles crée subrepticement une fiction immobile, des brides de narrations libres. Le format intervient dès lors de manière déterminante comme échelle, l’image s’appréhende corporellement là où il est question de gestuelle et d’Eros.

Marie Doria