En 2017, la photographe découvre par hasard Ōme, ville inconnue des touristes située non loin de Tokyo, où d’étranges affiches de cinéma des années 1950 ont envahi le paysage urbain. Ces panneaux de bois peints dévoilent le passé glorieux d’un Japon cinéphile au lendemain de la seconde guerre mondiale.
Avec son projet photographique Ōmecittà, la photographe révèle une petite ville oubliée du Japon, où le temps semble s’être arrêté.
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Chantal Stoman, « ŌMECITTA, Geisha » © Chantal STOMAN
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Ōmecittà, Les éditions de l’Œil
25 €, 95 pages, 2021